Autore |
Heers, Jacques, 1924-2013 autore |
Titolo |
La naissance du capitalisme au Moyen Age : changeurs, usuriers et grands financiers / Libro |
Pubblicazione |
[Paris] : Editions Perrin, [2012] |
©2012 |
Descrizione fisica |
320 pagine ; 21 cm |
Serie |
Pour l'histoire |
Nota bibliografica |
Bibliografia: pagine [317]-320 |
Contenuto |
1. L'or et l'argent -- Les mines du Soudan et l'or des caravaniers -- Les aventuriers sur les routes du Sahara -- Les Portugais en Afrique -- Serbie et Bohême, les mines d'argent -- 2. Le change -- Les belles pièces, le poids et l'aloi -- Les trafics, métaux et monnaies -- Fausses monnaies, vilaines copies -- Le change -- 3. Les prêts et l'usure -- "Gratis et amore Dei", aider son voisin -- Médecin à Florence -- Bernardo, père de Nicolas Machiavel -- L'intérêt condamné ou toléré? -- L'usurier dans la cité -- Les changeurs de la diaspora -- 4. L'usure, fortunes et grands destins -- Le prêt usuraire garanti -- Bancs, comptoirs et palais -- Riches et puissants -- Longues marches vers le pouvoir -- La terre gagnée par l'usure -- 5. Affaires, capital et travail -- Monnaies de papier, monnaie de compte -- Capital et travail -- 6. Malaises et faillites des finances publiques -- En France : des Templiers à Jacques Coeur -- Finances municipales, l'échec |
Riassunto |
Contrairement à ce qui est généralement, admis, le capitalisme naît au Moyen Age et se diffuse largement entre le XIIIe et le XVe siècle, sous des formes variées : prêts d'argent et spéculations le mot "bourse", nom d'une famille de Bruges, date de cette époque, vitalité des compagnies marchandes et financières. Toutes les strates de la société y participent. Juifs et Lombards ne sont pas les seuls à le pratiquer, les bourgeois sont bien plus nombreux que les étrangers, et même les plus modestes y concourent par le biais des parts de société qu'ils peuvent acheter. A cet égard, parler d'un "capitalisme populaire" n'est pas exagéré. Que l'Eglise multiplie les interdits des prêts et de l'usure montre à quel point ils sont peu respectés. Quant aux vrais puissants, ce ne sont pas les grands marchands, mais les usuriers. Dans la cité, ils tiennent le haut du pavé et s'imposent en maîtres, les Médicis en étant la figure la plus emblématique. Avec son talent coutumier, Jacques Heers balaye une nouvelle fois les idées reçues pour nous offrir un regard neuf sur le Moyen Age |
Soggetto |
Capitalismo -- Storia |
Finanza -- Storia -- Evo medio |
Serie |
Pour l'histoire |
Nuova Numerazione |
440779 |
Links to Related Works |
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